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Miller, Russell Ainsley

  • Writer: BCV.stories
    BCV.stories
  • Oct 6
  • 7 min read

Russell Ainsley Miller - WW2
Russell Ainsley Miller - WW2

931530 Private Russell Ainsley Miller, No. 2 Construction Battalion


Russell Ainsley Miller was born in London, Ontario on August 1st, 1894 to Moses Miller, a driver, and Anne ‘Annie’ Fountain Budd. His siblings included Grace Priscilla ‘Gracie’ [b 1885], Arthur Lethelina [b 1887], Isabell Claudia [b 1889], Florie [b 1889], Mabel [b 1891], Edith Beatrice [b 1893], and Russell Ainsley [ b 1894].


Russell Miller enlisted in the No. 2 Construction Battalion in London, Ontario on September 20th, 1916.  On January 1st, 1917 he was docked thirty-four days pay for having been Absent Without Leave for twenty days in December.  On February 2nd he was transferred to No. 2 Ditching Company, but he sailed for England with his unit and landed in France on March 17th, 1917.  On May 21st, like many of his comrades, he was charged with ‘Making away with Iron Rations’, for which he was fined five days pay.


On June 18th, 1917, Private Miller was Absent from 10:00 pm to 10:30pm, for which he was given five days of pack drill – Field Punishment No. 2.   In August he was given five days of Field Punishment No. 1 – being strapped to a gun wheel or post -for being AWOL all day and in October he again earned five days of F.P. No. 1 for neglect of duty and being AWOL overnight.  On November 11th, 1917, he was attached to No. 37 Forestry Company when it arrived in France. He served there until June 1918.  


On July 12th, 1918, Private Miller was placed under confinement for ‘When on Active Service Striking his Superior Officer.’  He was convicted and sentenced to fifty-six days of Field Punishment No. 1, that sentence being confirmed by the Commanding Officer of the British 3rd Army on August 6th.  Miller, according to the testimony of several witnesses, had approached the Sergeants Mess as it was closing and demanded that he and his friends be admitted and served.  After some violent language, he struck his Company Sergeant Major before being subdued, taken before an officer and locked up to await trial.  He did not testify in his own defence.


Private Miller returned to England and Canada with his unit and was discharged in Toronto on February 6th, 1919.  


According to the information given in his Second War files, Miller spent the period 1920 to 1939 working as a general labourer and, from 1936, a truck driver for various building contractors in Toronto.  In 1939-40 he worked at 5th Ave. Shoe Stores as a porter.  Sometime during this period he began a relationship with Katherine Miller, described in his file as his common law wife. 


Russell Miller enlisted in Toronto on June 24th, 1941 in the Royal Canadian Army Service Corps with regimental number B/92130 and the rank of Driver.  While still in Canada, training at Camp Borden and in Kitchener, Ontario, he was punished on a number of occasions for being drunk and absent without leave.   On February 19th, 1942, according to his file, Miller was informed of the death of his wife.  His Next of Kin was then listed as a sister, living in Detroit, Michigan.


On March 19th, 1942, Private Miller left Canada for England, where he qualified as a Driver in June 1943 and in October embarked for Italy.  He was attached to various Canadian units as an ammunition loader and general labourer.  On August 30th, 1944 we was given twenty-eight days detention and loss of pay for drunkenness. On October he was sentenced by a District Court Martial to six months detention, although the offence is not clear.  He managed to ear six weeks remission for good behaviour but in March 1945 was returned to the UK for discharge in Canada. He was discharged in Toronto on June 16th, 1945.  A final report compiled there described him as ‘a casual, slow speaking negro, 51 years of age and in doubtful physical condition.’  It pointed out that his experience was as a labourer but that he was medically unfit for this and suggested that perhaps he might find employment as ‘a watchman or porter in a large building or plant.’  It also recommended that he consult a DVA Medical Officer about his health and future employment.  


Russell Ainsley Miller died on September 23rd, 1945, in Toronto, three months after his discharge from the Canadian Army.  He was buried in Mount Pleasant Cemetery in London, Ontario and his records indicate that the coronary thrombosis which killed him was due to his military service.  His Commonwealth War Graves Commission headstone reads ‘B/92130 Driver / Russell A. Miller / R.C.A.S.C. / 23rd Sept. 1945.’   A search of the cemetery records indicates that there is an epitaph GOD SO LOVED THE WORLD THAT HE GAVE HIS ONLY BEGOTTEN SON – although it does not appear on the face of the headstone.



931530 Soldat Russell Ainsley Miller, 2e Bataillon de construction 


Russell Ainsley Miller naît à London, en Ontario, le 1er août 1894 de Moses Miller, chauffeur, et d'Anne « Annie » Fountain Budd. Ses frères et sœurs sont Grace Priscilla « Gracie » [née en 1885], Arthur Lethelina [né en 1887], Isabell Claudia [née en 1889], Florie [née en 1889], Mabel [née en 1891], et Edith Beatrice [née en 1893].


Russell Miller s'enrôle dans le 2e Bataillon de construction à London, en Ontario, le 20 septembre 1916.  Le 1er janvier 1917, il se voit retirer trente-quatre jours de solde pour avoir été absent sans permission pendant vingt jours en décembre Le 2 février, il est transféré à la 2° compagnie de creusage de fossés, mais il s'embarque pour l'Angleterre avec son unité et débarque en France le 17 mars 1917.  Le 21 mai, comme beaucoup de ses camarades, il est accusé de « s'être emparé de vivres de réserve », ce qui lui vaut une amende de cinq jours de solde.


Le 18 juin 1917, le soldat Miller s'absente de 22h00 à 22 h 30, ce qui lui vaut cinq jours d'exercice en batterie - peine en campagne n°2.   En août, il reçut cinq jours de peine en campagne n° 1 - être attaché à une roue ou à un poteau - pour avoir été absent toute la journée et en octobre, il reçoit à nouveau cinq jours de peine en campagne n° 1 pour manquement au devoir et pour avoir été absent pendant la nuit.  Le 11 novembre 1917, il est rattaché à la 37e compagnie du Corps forestier canadien lorsqu'elle arrive en France. Il sert au sein de cette unité jusqu'en juin 1918.  



Le 12 juillet 1918, le soldat Miller est placé en détention pour avoir, en service actif, frappé son supérieur. Il est reconnu coupable et condamné à cinquante-six jours de peine en campagne n° 1, peine confirmée par le commandant de la 3e Armée britannique le 6 août.  Selon plusieurs témoins, M. Miller s'était approché du mess des sergents au moment de la fermeture et avait exigé que lui et ses amis soient admis et servis.  Après avoir tenu des propos violents, il a frappé son sergent-major de compagnie avant d'être maîtrisé, conduit devant un officier et enfermé en attendant son procès.  Il n'a pas témoigné en sa propre défense.


Le soldat Miller retourne en Angleterre puis au Canada avec son unité et est démobilisé à Toronto le 6 février 1919.  


D'après les renseignements fournis dans ses dossiers de la Seconde Guerre mondiale, M. Miller a travaillé de 1920 à 1939 comme manœuvre, et à partir de 1936, il a été chauffeur de camion pour divers entrepreneurs en bâtiment à Toronto.  En 1939-1940, il travaille chez 5th Ave. Shoe Stores en tant que bagagiste.  Au cours de cette période, il entame une relation avec Katherine Miller, décrite dans son dossier comme sa concubine. 


Le 24 juin 1941, Russell Miller s'enrôle à Toronto dans le Corps royal de l'intendance de l'Armée canadienne avec le numéro de matricule B/92130 et le grade de chauffeur. Alors qu'il est encore au Canada et qu'il s'entraîne au Camp Borden et à Kitchener, en Ontario, il est puni à plusieurs reprises pour avoir été ivre et absent sans permission. Le 19 février 1942, selon son dossier, Miller est informé du décès de sa femme. Sa plus proche parente est alors une sœur qui habite à Détroit, dans le Michigan.


Le 19 mars 1942, le soldat Miller quitte le Canada pour l'Angleterre, où il obtient sa qualification de chauffeur en juin 1943 et s'embarque en octobre pour l'Italie. Il est attaché à diverses unités canadiennes en tant que chargeur de munitions et manœuvre Le 30 août 1944, il est condamné à vingt-huit jours de détention et à la perte de sa solde pour ivresse. En octobre, il a été condamné par une cour martiale de district à six mois de détention, bien que l'infraction ne soit pas spécifiée.   Il parvient à obtenir une remise de peine de six semaines pour bonne conduite, mais en mars 1945, il est renvoyé au Royaume-Uni pour être démobilisé au Canada. Il est libéré à Toronto le 16 juin 1945.  Un rapport final rédigé à cette occasion le décrit comme « un nègre décontracté, parlant lentement, âgé de 51 ans et dont la condition physique est douteuse ».  Il souligne que son expérience est celle d'un ouvrier, mais qu'il est médicalement inapte à ce métier et suggère qu'il pourrait peut-être trouver un emploi comme « gardien ou portier dans un grand bâtiment ou une usine ». Le rapport recommande également qu'il consulte un médecin militaire du ministère des Anciens combattants au sujet de son état de santé et de son futur emploi.


Russell Ainsley Miller s’est éteint le 23 septembre 1945 à Toronto, trois mois après sa démobilisation de l'armée canadienne.  Il est enterré au cimetière Mount Pleasant de London, en Ontario, et son dossier indique que la thrombose coronarienne qui l'a tué est attribuable à son service militaire.  Sur sa pierre tombale de la Commission des sépultures de guerre du Commonwealth, on peut lire ‘B/92130 Driver / Russell A. Miller / R.C.A.S.C. / 23rd Sept. 1945.’(B/92130 Chauffeur / Russell A. Miller / C.R.I.A.C./ 23 sept. 1945)  Une recherche dans les registres du cimetière indique qu'il existe une épitaphe « GOD SO LOVED THE WORLD THAT HE GAVE HIS ONLY BEGOTTEN SON » (Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique) – bien qu'elle n'apparaisse pas sur la face de la pierre tombale.


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